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 WFA Backlash

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Baptmann
Cesaro
Baptmann

Messages : 672

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MessageSujet: Re: WFA Backlash   WFA Backlash - Page 4 EmptyDim 30 Déc - 19:47

Je m’appelle Richie Steamboat, je suis lieutenant à la brigade spéciale WFA, pour Waouh Fais Attention, une brigade chargée de la défense de la population qui ne fait pas attention, soit une grande partie de la population en fait. Ouais quand on y réfléchit j’ai tout d’un flic finalement. Même un bon vieux magnum, ouais vous savez les glaces aux chocolats avec une énorme moustache dessus. Je ne le savais pas encore, parce que je n’avais pas lu le script, mais cette journée allait me changer la vie

Commissariat de la WFA, 07h de la nuit, avant le matin donc, dans la mesure où en ce moment le soleil n’est pas encore levé à 07h cette feignasse

Richie entre dans le commissariat, comme à son habitude, afin de saluer ses collègues.

Richie : « Salut mes collègues » !

Les collègues : « Bonjour sergent ».

Commissaire Regal : « Ah vous tombez bien Richie » !

Richie : « Non pas spécialement, j’avoue que généralement j’évite de chuter, ça m’évite des ennuis ».

Commissaire Regal : « Comment » ?

Richie : « Principalement en évitant les bords d’immeuble, ou les fenêtres, ainsi que tout ce qui est en hauteur. Mon appartement est de plein pied vous savez, et puis quand je picole je m’assoie directement par terre. Mon lit n’est pas surélevé non plus ».

Commissaire Regal, interloqué, : « Je vois… »

Richie : « Oui moi aussi, je n’ai aucun problème de vue à vous signaler, le docteur Keibler ne vous l’a pas dit » ?

Commissaire Regal : « Si, si j’ai reçu son rapport mais… »

Richie : « Petit coquin va » !

Commissaire Regal : « Non ce que je veux dire… »

Richie : « Nan mais je comprends, c’est une très belle femme, moi même parfois j’aurais envie de recevoir son rapport mais je n’ai pas le temps. Peut-être quand j’aurai atteint votre grade ».

Commissaire Regal : « J’ai une mission pour vous colonel » !

Richie : « Ah parfait ! Qui dois-je sauver cette fois ? La veuve ou bien l’orphelin » ?

Commissaire Regal : « Non Miss France va bien, nous avons raté ce maniaque qui la poursuivait. Un certain Heel ».

Richie : « Sombre histoire ».

Commissaire Regal : « Oui… votre mission est simple, nous savons que le Gang des Aimables Yatchmen à débarquer en ville » !

Richie : « Hum les GAY sont en ville alors » ?

Commissaire Regal : « Oui et comme vous le savez partout où les GAY sont passés, les banques l’ont eu dans le cul » !

Richie : « Pardon » ?

Commissaire Regal : « Je veux dire, partout où les GAY sont passés, les banques se sont volées ».

Richie : « Vous pensez qu’il ne s’agirait que d’une couverture pour un gang organisé » ?

Commissaire Regal : « Oui il semblerait que les GAY, soit en fait composé de deux membres seulement, Chris Jericho et Christian, aussi connu sous le nom de Gros cons » !

Richie : « Ah oui les fameux Garnements Ridiculement Obséquieux Surmenés de la Collégiale Orfèvrerie Nihiliste Supérieure ».

Commissaire Regal : « Tout à fait. Et pour cette enquête, commandant, vous aurez besoin d’aide. Je vous présente le lieutenant Sheffield » !

Richie : « Enchanté général ».

Skip : « C’est un plaisir maître ».

Commissaire Regal : « Lieutenant Sheffield je vous présente le lieutenant Steamboat ».

Skip : « Charmé, docteur ».

Richie : « Tout le plaisir est pour moi votre majesté ».

Commissaire Regal : « Bien les présentations étant faîtes, je vous conseillerai d’aller faire un tour au Yacht club. Il est dans le quartier surnommé le petit coin de Paris ».

Me voilà maintenant affublé d’un coéquipier, qui ne cessait de manger des Donuts, mais qui pourtant était une masse de muscle. J’avais l’impression que les mecs du casting n’avait pas réussi à trouver la personne adéquate pour le rôle de mon collègue qui aurait sans doute dû être joué par une personne plus enrobée et qu’ils avaient à la place choisi quelqu’un de très musclé pour faire plaisir au public féminin. Quoi qu’il en soit, la traversée du petit coin de Paris fut satisfait, la Tour Eiffel, le Louvres, l’Arc de Triomphe, Carla Bruni, tout les visites étaient parfaites. Bien entendu, c’est avec un mal de crâne carabiné causé par les nombreux joueurs d’accordéon qui arpentaient les rues à bicyclette, baguette de pain à la main, béret sur la tête, que nous arrivions à l’entrée du Yacht Club.

Entrée du Yacht Club, 09h30, à cause des embouteillages

Richie : « J’te préviens Skip, j’ai pas l’habitude de travailler avec un coéquipier, je préfère faire ça en solo ».

Skip : « Ah ? Pourtant t’es pas plus moche qu’un autre, toi aussi tu trouveras une femme à aimer un jour ».

Richie : « J’espère mais tu sais, depuis que Kaytlin est partie… »


Régie : « Non mais qui vous a dit de passer le film de vacances… »

Stagiaire : « Pardon je croyais que ça serait bien… »

Régie : « Si t’étais pas le neveu du patron tu serais renvoyé » !



Musique d’ambiance le temps du flashback :


Régie : « Mais putain c’est pas vrai ! Le laissez plus toucher à rien ce con » !

Musique d’ambiance le temps du flashback, qu’on a dit :


Les images défilent dans la tête de Richie. Il se voit à une soirée chez une amie à lui, après une danse des canards épique, il fait la chenille, la femme devant lui est Kaytlin. Elle lui met une claque car elle n’a pas supporté qu’il lui touche la taille, il tombe à travers la table basse en verre et la brise se fracassant le dos. Ils rient ensemble. Richie et Kaytlin sont maintenant dans un magasin de vêtements. Kaytlin essaie différentes robes, Richie également, et ils rient encore. Les tourtereaux sont au restaurant autour d’un plat de spaghetti. Deux musiciens italiens viennent autour d’eux pour jouer de la musique et chanter. Kaytlin les fait passer à travers la vitrine, et ils rient. Les amoureux sont sur la piste de danse, ils sont enlacés, lorsque un rock démarre, Kaytlin soulève Richie et l’envoie en l’air, il reste coincé la tête dans le faux-plafond, et ils rient. Les deux concubins sont dans leur chambre. Richie (que l’on voit de dos) est nu devant Kaytlin allongée, en nuisette sur le lit. Kaytlin regarde au niveau de l’entrejambe de Richie, et ils rient.

Richie : « Ah Kaytlin… mais bon sang Skip t’es où » ?

Skip : « Comme ton flashback avait l’air assez long j’ai été me chercher un sandwich. C’est un poulet mayo, t’en veux un morceau » ?

Richie : « Maillot quoi ton poulet » ?

Skip : « Blanc à poids rouge, il a fini meilleur grimpeur du tour de France l’an dernier ».

Richie : « Ils font courir des poulets sur le tour de France maintenant » ?

Skip : « Ouaip, c’est la seule solution qu’ils ont trouvé pour enrayer le dopage. Mais c’était l’année qu’il faisait ça… »

Richie : « Pourquoi » ?

Skip : « La cinquième étape finissait dans une rôtisserie… putain je les aimais ces poulets moi merde » !

Skip : « Mais je les aimais ces poulets moi merde » !




Les images défilent dans la tête de Skip. On voit plusieurs poulets sur des mini vélos, poursuivant une voiture qui sème des vers de terre. Au bord de la route, en marcel, Skip encourage les poulets. Au milieu d’une côte, une coupelle de graine acmé a été déposée. Le coyote se fait massacrer par Skip après avoir essayé de dévorer un poulet. Skip et le poulet sont au restaurant italien, ils mangent un plat de spaghetti, deux musiciens avec des pansements arrivent pour jouer un morceau de musique, Skip les fait passer à travers la vitrine neuve. Skip et le poulet dansent un slow, la musique change, un rock est mis, Skip lance le poulet en l’air, il retombe sur la tête des gens et les griffes leur causant des douleurs atroces, Skip rit. Skip et le poulet sont dans la chambre, le poulet est nu (sans ses plumes, de dos aussi), Skip est allongé sur le lit en nuisette. Skip regarde l’entrejambe du poulet et il bave.

Skip : « Richie ? T’es où » ?

Richie : « J’suis là, mais paraît que je manque de charisme, du coup parfois on a l’impression que je disparais de l’écran. Mais en fait j’suis là ».

Skip : « Bon il serait tant d’entrer, ça fait un moment qu’on est devant la porte des GAY ».

Skip frappe à la porte, la défonçant littéralement, la malheureuse était en bois de mauvaise qualité. Richie quant à toi utilise la sonnette.

Christian et Jericho, en peignoir rose, « you’re my champion » avec une flèche se dirigeant vers l’autre, ouvrent la porte, enfin ce qu’il en reste. Richie montre sa plaque de la WFA.

Richie : « Lieutenant Steamboat et Sheffield, brigade spéciale. Pouvons-nous entrer ».

Christian : « Non vous êtes pas notre style ».

Chris : « On les aime plus distingués » !

Skip : « J’en étais sûr vous êtes les GAY » !

Christian : « Nan mais ça va bien ça à la fin… alors juste parce qu’on prend soin de nos corps, qu’on a un vocabulaire raffiné, que nos vêtements sont beaux, qu’on vit tous les deux ensemble dans un yacht on sera pd… ça va quoi à la fin » !

Richie : « … »

Skip : « En fait ce n’est pas de… »

Chris : « Euh Christian, je crois qu’ils parlaient des Garnement Ridiculement Obséquieux ».

Christian : « Ah ? T’es sûr » ?

Chris : « Oui j’en ai bien l’impression ».

Christian : « Ah merde… alors ils n’ont pas de soupçon pour notre… »

Chris : « Chut n’en dit pas plus, j’ai l’impression qu’ils nous écoutent » !

Christian : « Comment osez-vous nous accuser d’être les GAY » ?

Richie : « Eh bien à chaque fois que votre navire passe, les banques trépassent ».

Chris : « Simple hasard ».

Richie : « Oh je ne crois pas au hasard. Non le hasard ça n’existe pas, pas plus que la vente par correspondance, ou un candidat de gauche au parti socialiste, pas plus que le point G, tout ça se sont des racontars de bonnes femmes attardées et frigides. La vie sur Mars, ça ça existe, c’est tangible ! Mais le hasard, oh non » !

Christian : « Hey ce que nous disons ne sont pas des racontars de bonnes femmes ! Est-ce qu’on a l’air de bonnes femmes » ?

Skip : « Oui » !

Christian donne une gifle à Skip, mais il bloque sa main, Christian utilise son autre main, Skip la bloque. Mais une main sortie de nulle part gifle Skip.

Christian : « Pardon je n’aurai pas dû ».

Chris : « Bien vous avez outrepassé vos fonctions, permettez-moi de vous fermer la porte au nez ».

La porte miraculeusement réparée est alors fermée par Jericho. Non, Richie la bloque avec son pied.

Chris : « Ah pardon j’avais pas vu votre jambe ».

Richie : « C’est normal, ça m’arrive tout le temps. Nous savons que vous avez des places pour le gala offert ce soir par la Layfield Bank, nous y serons aussi, et prenez garde à vous, urinez à côté de la cuvette et nous serons là pour essuyer ».

Après un moment d’étonnement, Jericho ferme la porte.

J’avais le blues du businessman, mais sans le businessman, principalement parce que j’étais un flic, un simple flic sans doute. Et dans ces moments là, il ne me restait plus qu’une chose à faire, aller me remonter le moral dans mon bar préféré. Je laissais là mon coéquipier qui partit manger aussi, sans doute parce qu’il était midi, à moins que ce ne fut parce qu’il mangeait tout le monde, je n’aurais pas su dire, mon flair de détective ne m’ayant pas éclairé sur ce mystère, une lampe de poche aurait été plus pratique pour ça sans doute.


Déjà l’atmosphère joyeuse du lieu m’empreignait et je me sentais revivre. C’est alors que je la vis entrer, Kaytlin, la femme de mes rêves, celle sans qui ma vie n’était plus qu’un cloaque puant et infâme. Elle était maintenant en face de moi, dans sa magnifique robe rouge que nous avions acheté ensemble, elle avait gardé la mienne d’ailleurs, et après qu’elle m’ait dit bonjour, je supposais qu’il fallait mieux que je termine ce monologue intérieur sans quoi non seulement j’aurais l’air stupide mais en plus je ne saurais pas pourquoi elle est venue.

Richie : « Comment vont les enfants » ?

Kaytlin : « Mais nous n’avons pas d’enfants… »

Richie : « Ah oui c’est vrai ».

Kaytlin : « Et ton opération » ?

Richie : « Bien, bien très bien même, quatre fois deux font huit ».

Kaytlin : « Ah je suis content pour toi, les mathématiques t’ont toujours causé problème ».

Richie : « Bien assez parler du bon vieux temps, que me veux-tu » ?

Kaytlin : « Ne sois pas si pressé, Richie, tu as toujours été trop pressé ».

Richie : « C’est toi qui tenait mes noix je te signale ».

Kaytlin : « Je sais, je les ai mises dans un bocal au salon ».

Richie : « Près des olives » ?

Kaytlin : « Oui, c’est ça, juste à côté ».

Richie : « Ah ces souvenirs du passé… bien qu’es-tu venue me dire, allez parle ».

Kaytlin : « Je suis venue te prévenir. Tu sais que je travaille maintenant pour le GAY ».

Richie : « Je t’interdis de traîner avec eux » !

Kaytlin : « Je ne suis pas une traînée ! Ni avec eux, ni avec personne » !

Richie : « Oui pardon mes mots ont dépassé ma pensée ».

Kaytlin : « J’ai l’impression qu’ils préparent un sale coup ce soir. Et que ça aura lieu pendant la fête de la Layfield Bank. Depuis plusieurs mois j’ai même l’impression que ce sont des bandits, les liasses de billets qu’il ramènent dans des sacs gigantesques m’ont fait penser à ça, mais je me fais des idées je pense ».

Richie : « Pour se faire des idées il vaut mieux penser en effet. Mais jusqu’à preuve de l’inverse, ils sont en résumés coupables à moins que ce soit… »

Kaytlin : « Tu t’es toujours emmêlé les pinceaux, Richie, c’est pour ça que je t’ai quitté. Le kamasutra avec toi ce n’était pas une expérience agréable ».

Richie : « Mais… Kaytlin tu ne peux pas dire ça, le 96 était pas génial mais… »

Kaytlin : « ça suffit Richie. Je pensais que tu serais heureux de me revoir, mais au lieu de ça je te trouve aigri et énervé. Tu aurais dû tourner la page depuis le temps ».

Richie : « J’aurai bien aimé mais c’est que je n’ai qu’un salaire de flic, le crédit que j’avais fait pour notre mariage et la lune de miel ne sont toujours pas remboursés en fait ».

Kaytlin : « Comment était le mariage » ?

Richie : « Moins bien quand tout le monde a réalisé que tu ne viendrai pas ».

Kaytlin : « Oui j’imagine ».

Richie : « Kaytlin il faut que je te dise… »

Kaytlin : « Non Richie, il faut que tu fasses une croix sur moi, nous deux c’est terminé ».

Richie, feutre noir en main : « Bien c’est comme tu voudras… »

Kaytlin : « En souvenir du bon vieux temps, je vais mettre notre chanson dans le jukebox ».

Richie : « Attends j’ai eu le temps de faire un seul trait sur ton bras ».


Kaytlin après avoir écouté les premières paroles, donne des coups de pied dans la machine.

Kaytlin : « Mais bon sang ! C’était pas notre chanson ça merde » !

Richie se dépêche de remettre une pièce avant que la machine ne soit détruite.


La voir danser lascivement sur le slow de Corbier réveillait en moi des souvenirs disparus. Le temps de mon nouveau flashback, Kaytlin avait disparu et la chanson était terminée. Je me retrouvais là, seul comme une merde desséchée au soleil sur le point de se faire piétinée par un troupeau de hipsters parisiens. Il ne me restait plus qu’à me replonger dans l’enquête, peut-être la plus difficile de ma carrière, sans doute parce qu’il s’agissait de la première, alors que je marchais dans la ville… [youtube]https://www.youtube.com/watch?v=j4ueaD22hg8[/pasyoutube]

Régie : « Non mais ça suffit avec les ambiances musicales maintenant ! Le budget vidéo est pas infini non plus ! Et vous êtes deux sur cette promo, alors faudrait voir a pas exagérer merde » !

Alors que je marchais dans la ville, je me demandais, où j’étais d’une part et ce que pouvait bien faire mon coéquipier.

Pendant ce temps, ailleurs mais pas-là. Vous voyez ici ? Et bah pas-là non plus. Plus à droite. En fait, en sortant de l’autoroute, vous prenez pas à droite, et en n’allant pas toujours droit vous finirez peut-être par y arriver ! Bref. Quelque part, Skip était donc parti à l’opposé de Richie et se laissait guider par sa faim. Plus il avait faim et plus il avait faim. Après avoir testé un bouchon lyonnais, la bouteille de rouge qui allait avec, puis une guinguette, un fast-food, un restaurant gastronomique qu’il avait du « réquisitionner » pour éviter de payer, il avait terminé dans un restaurant japonais


Skip : « Je peux avoir la carte sivouplé ? »

Serveur : « Oui, oui, bien sûr. Tenez, hono’able client ! »

Skip : « Non, non, vous m’avez pas compris. Je veux la carte. En entier. »

Serveur : « Bah oui. Moi jaune mais pas con. Moi donner toutes les pages de la ca’te à l’hono’able client ! »

Skip : « Mais non, je veux TOUT manger ! TOUT ! Je veux ça, et ça, et ça, et ça ! et ça ! et ça ! TOUT ! »

Serveur : « Ah d’atord hono’able ét’anger. Toi vouloir ma fille aussi ? »

Skip : « Ca dépend, elle pèse combien ?

Serveur : « A peu p’ès dans les tarantes tilos. »

Skip : « Ah non alors, désolé, je fais pas dans les anorexiques ! »

Serveur : « Mais elle seulement 7 ans ! Et elle déjà savoi’ coud’ habits à elle ! Elle pas che’e du tout ! Seulement cent eu’os ! »

Skip : « Mais enfin monsieur ! C’est quoi cette manière de parler de votre fille ! Vous devriez avoir honte ! Une femme, quel que soit son âge mériterait tout de même un peu d’effort de prononciation ! Alors répétez après moi ‘’Mais vous savez honorable visiteur, ma fille, dans toute la grâce du matin que lui a accordé le gros Bouddha sait déjà du haut de ses 7 années de vie coudre elle-même ses vêtements ce qui en fait un très bon investissement. Car, dans ma grande bonté je vous la fait à un prix d’ami, seulement 100 euros !’’ Alors, seulement, je pourrais envisager de vous faire part de mon accord ou non ! »

Serveur : « Heu… moi aller che’cher le repas de toi, hein ! »

Skip : « Ouais voilà, laisse moi réfléchir à mon affaire !… Alors on disait : ABC est un triangle rectangle en A. AB mesure 19 cm et AC 15. Sachant que l’angle fuit de 25° à l’est, combien de verre d’eau faut-il pour remplir le triangle les jours de pluie ? »

[i]Car il faut savoir que depuis tout petit, Skip ne rêve que d’une seule chose : intégrer la garde rapprochée du président des Etats-Unis. Seulement, la force pure ne fait pas tout, et un examen poussé mesurait également les capacités de réflexions de chaque candidat. Skip a été recalé cet été pour la 7ème fois d’affilée. Mais tel un preux défenseur du monde libre qu’il est, il ne baissera pas les bras de sitôt ! »

Serveur : « Voilà, honorable client, cela vous convient ? »

Skip : « Non, je ne pense pas que mon collègue viendra. »

Serveur : « Pardon ? »

Skip : « Non, non je refuse que vous me fassiez don de cette nourriture, merci quand même ! »

[i]Après avoir recommandé « la même chose », Skip se dit qu’il était temps de rentrer à la brigade. Et pour faire court, Richie aussi. Le hasard faisant quand même très bien les choses, ils arrivèrent pile au même moment ! Entrant le pas pressé dans le bâtiment pour se donner l’impression qu’ils ont d’importants dossiers à traiter, ils tombent nez à nez avec le commissaire Regal. »

Regal : « Ah jeunes gens, vous tombez bien ! J’ai une mission d’une extrême importance à vous confier ! Ce soir, le gala de la Layfield Bank accueillera des personnalités de haut-rang, et vous allez devoir les accompagner et les protéger ! Si quoique ce soit leur arrivait… Je vous en tiendrais responsables ! Est-ce bien compris ? »

Richie & Skip d’une même voie : « Oui chef ! »

Regal : « Bien allez donc les chercher à l’aéroport, et dépêchez vous ! »

Après qu’il soit parti, Richie et Skip se regardent.

Richie : « Putain, on est pas vernis, Oran c’est pas la porte à côté ! Allez on y va ! »

Skip : « Ouais attend, faut juste que j’aille me chercher à bouffer, on se retrouve dans 10 minutes à l’aéroport ! »

10 minutes plus tard…

Skip : « Mais puisqu’on vous dit qu’on doit être à Oran et revenir d’ici ce soir ! »

Hôtesse : « Mais ce n’est pas possible monsieur, aucun avion de part en direction de l’Asie aujourd’hui ! »

Skip : « Bon… Richie, on se la fait à l’islandaise ? »

Richie : « Ouais vas-y je te suis ! »

Skip se jette alors sur le micro et hurle dedans, sa voix résonnant dans tout l’aéroport « J’ai une booooooooooooooooombe ! Vous allez touuuuuuuuus mourir ! »

C’est la panique dans ‘assistance, l’hôtesse s’évanouit, les gens courent dans tous les sens, se rentrent dedans, sautent par les fenêtres… Mais pas moins de 30 secondes plus tard, alors que nos deux comparses courent vers les hangars à avion, l’aéroport est vide. Après une course effrénée, ils finissent par trouver un jet privé abandonné par ses occupants, tellement pressé de s’enfuir qu’ils en avaient laissés les clés sur le contact.

Richie : « Tu sais conduire un machin comme ça toi ? »

Skip : « Oh c’est comme le vélo, si j’avais appris, j’aurais pas oublié ! »

Et d’un pas décidé, les 2 hommes montent dans l’avion…

1 heure plus tard (pour permettre à l’action de se dérouler correctement, les distances entre les différents coins du globe ont été légèrement réduites)

Richie : « On est au dessus de Paris, Oran doit plus être bien loin ! Tiens prend à droite après le prochain cumulonimbus. »

Skip : « Ah oui voilà, je vois une sorte de grand lac, ça doit pas être bien loin. »

Richie : « D’après la carte c’est une mer… »

Skip : « Tu parles, ça a la taille des lacs de mon Canada natal ! »

Richie : « T’es né au Canada toi ? »

Skip : « Pas du tout, pourquoi ? »

Richie : « Comme ça. Allez, pose toi là, je vois un panneau marqué « Oran » ! »

30 secondes plus tard, les deux hommes se retrouvent dans la riante cité d’Oran, connue pour ses rues et ses maisons, habitées par des oranges et des orangers.

Skip : « Je ne vois personne nous attendant à l’aéroport en tous cas… »

Richie : « Moi non plus ! »

Skip : « C’est normal, on regarde dans la même direction ! »

Richie : « Ah oui en effet… Attends, là regarde ! Un écran de télévision vient de s’allumer et il nous regarde fixement ! »

En effet, alors que l’aéroport était quasiment désert, le sable ayant envahi une grande part du hall principal, un écran de télévision s’était allumé soudainement… Après quelques instants, le commissaire Regal apparu.

Commissaire Regal : « Hin hin hin, je vous ai bien eu n’est pas ! Hin hin hin ! je suis en réalité Brews Lit, le sosie du commissaire Regal ! je suis envoyé par les GAY pour vous empêcher de les empêcher d’agir à leur guise ce soir ! Hin hin hin, je suis démoniooooo! »

https://www.youtube.com/watch?v=TrsxRSAVG6Y

Richie : « Han mon dieu, qu’avez-vous fait du commissaire regal ?! »

Brews Lit : « Nous l’avons kidnappé et nous lui avons fait subir des choses horribles hin hin hin ! »

Richie : « Vite Skip, nous devons retourner chez nous et empêcher les GAY de prendre le pouvoir ! »

Les deux hommes se précipitent alors à leur avion, et démarrent en trombe. Grâce aux raccourcis de Skip, les deux hommes finissent par arriver au gala de la Layfield Bank, pour un affrontement qui s’annonce… dantesque !

« Heu excusez-moi… »

Skip et Richie se retournent, accostés par deux types en robe de nuit et qui ne s’étaient visiblement pas rasés depuis des lustres.

Homme 1 « Vous vous prenez pour qui vous là ? »

Richie : « Pardon, z’êtes qui vous ? »

Homme 2 « Je suis le délégué syndical d’Al-Qaida, monsieur. Je viens vous faire savoir que nous avons décidé de porter plainte contre vous pour empêchage de faire le mal ! Pour qui vous prenez vous à faire foirer nos attentats ?! »

Homme 1, au bord des larmes « Ouais, ça prend des mois à organiser et tout ça pour quoi ? Pour que vous fassiez tout échouer ?! Moi qui pensait enfin faire n’golo n’golo ce soir au paradis ! J’espère que vous êtes fiers devous ! »

Skip : « Heu ouais, bah attendez là, parce qu’on a du boulot nous ! »

Skip et Richie se précipitent dans le bâtiment en montrant leurs cartes de police.

Homme 2 : « Ouais bah comptez sur nous pour vous attendre, parce que bon, on compte pas vous laisser tranquille ! »

Serveur : « Excusez moi messieurs, avez-vous vos invitations ? »

Homme 1 : « Tais-toi, infidèle de pingouin ! On bougera pas, parce que… »

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Bon Brute & Truand
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MessageSujet: Re: WFA Backlash   WFA Backlash - Page 4 EmptyDim 30 Déc - 22:40

Plus qu'une heure vingt avant la fin (de la session de promo).
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Clown Bastard
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Clown Bastard

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MessageSujet: Re: WFA Backlash   WFA Backlash - Page 4 EmptyDim 30 Déc - 23:57

Suite...

Amis buvons, mes chers amis buvons
Mais n’y perdons jamais la raison
A force d’y boire, on perd la mémoire
On va titubant le soir à tâtons
Et on courre les rues à saute-mouton
♪♫

Ted : Dit donc tu pourrais pas la fermer un peu ta gueule ?

De Burchill : C'est le Duc Nakou de Bourgogne qui m'a appris se chant.

Ted : J't'ai rien d'mandé.

De Burchill : N'est ce pas un émerveillement pour les oreilles ?

Ted : NAN !

De Burchill : "A Nantes, à Nantes, vient d'arriver. A Nantes, à Nantes, vient d'arriver. Un beau trois-mâts chargé de blé..." ♪♫Celle là viens du Baron Mery de Bretagne.

Ted : M'EN FOUT ! JE M'EN FOUT DE TOUT TES VIEUX ANCÊTRES DE MES BURNES ! ILS SONT MORTS, ILS APPARTIENNENT AU PASSÉ ! COMME TES IDÉES IDIOTES DU PARTAGE DES RICHESSES ! AUJOURD'HUI FAUT ÊTRE UN WINNER ET ÉCRASER TOUT LE MONDE ! TOUT LE MONDE ! T'ENTEND ! J'EMMERDE LES PAUVRES ! J’EMMERDE LES NÉCESSITEUX, LES ESTROPIÉS, LES VEUVES ET LES ORPHELINS ! ILS AVAIENT QU'A PAS NAITRE PAUVRE PIS C'EST TOUT ! VIVE L’AUSTÉRITÉ POUR LES PAUVRES ! VIVE LA CHASSE AU ANIMAUX EN VOIX D'EXTINCTION ! VIVE LA VIANDE QUE JE FILE A MES CHIENS QUE LES PAUVRES N'AURONS PAS ! VIVE LE MEDEF ! VIVE LA DROITE ! VIVE WALL STREET ! VIVE DSK QUI VIOLE DES PAUVRES SANS ALLER EN TÔLE ! VIVE DEPARDIEU ! VIVE LE POINT ET LE FIGARO ! VIVE LE POGNOOOOOOOOOON !

Ted avait les poings rageurs levés vers le ciel à la fin de sa tirade... mais il était également seul dans le couloir. De Burchill avait disparu.

Ted : ... Hey t'es où ?

...

Ted : Burchill enfoiré ! Me laisse pas seul.

"J'ai l'cheval !"

Ted : OH PUTAIN !

Ted accouru, sautant au dessus d'un Vladimir Kozlov ivre mort.

Kozlov : Maitlllle Kingball palllti... MAITLLLLLE ! MAITLLLLLE ! POULLLLQUOI M'AVOILLLL ABANDONNÉ ???

Ted avait rejoins Burchill, il se tenait à quelque mètres du cheval, ce dernier était coincé dans un cul de sac, le chèque toujours dans sa bouche.

De Burchill : MON CHEVAL !

Ted : MON POGNON !

Boudin Créole : MON DIEU !

Ted : Gné ?

De Burchill : Mais Boudin Créole tu parle !

Boudin Créole : Euh... Meuuuuh... oh et puis merde.

??? retire son déguisement de cheval.


Kaytlin : IT'S ME BURCHILL !

De Burchill : OW ! SON OF A BITCH !

Ted : J'ai déjà vu ça quelque part...

Kaytlin : IT'S ME BURCHILL ! IT WAS ME ALL ALONG BURCHILL !

De Burchill : C'EST UNE MEUF ! BOUDIN CRÉOLE EN FAIT C'EST UNE MEUF !

Ted : Oui j'ai vu pas la peine de me gueuler dans les oreilles.

De Burchill : MAIS POURQUOI BOUDIN ? BOUDIN MON GROS BOUDIN A MOI !

Kaytlin : Arrête de m'appeler boudin.

De Burchill : Après toutes nos aventures.

Kaytlin : HAHAHA ! Mais tu te trompe De Burchill, j'ai pris la place de ton poney en sachant très bien que je pourrais me rapprocher de toi et ainsi me venger du jours où tu m'as empêcher de me venger de Richie et Skip.

De Burchill : C'EST DINGUE !

Ted : C'est chiant.

Kaytlin : Et tu veux savoir ce qui est advenu de Boudin Créole ?

De Burchill : OH MON DIEU ! TU L'AS TUÉ ! TU AS TUÉ MON BOUDIN CRÉOLE !

Kaytlin : Oh non c'est cruel. J'adore les poneys je l'ai vendu à un poney club.

De Burchill : Oh chouette !

Ted :... Ok c'est nul ! Bon mamzelle vous êtes bien mignonne et tout mais maintenant faut être gentille et me rendre mon chèque. Aller hop !

Kaytlin : Oh ça non. Cet argent je vais le garder et avec je vais échafauder un plan pour me venger de Skip et de Richie. HAHAHA !

Ted : Euh non je crois pas.

De Burchill : OUAIS ! ON NE TE LAISSERA PAS FAIRE DE MAL A NOS AMIS.

Ted : C'est pas où je voulais en venir...

De Burchill sort son épée en bois de son calbut.

De Burchill : EN GARDE SORCIÈRE !

Kaytlin : Comme tu voudras.

Kaytlin sort alors un bazooka de son déguisement de cheval.

Kaytlin : HAHAHA !

De Burchill : Diable ! Je crois que j'ai déjà croisé le regard de ce bazooka.

Ted : Cool !

Kaytlin : Tu va mourir Burchill !

De Burchill : JE N'AI PAS PEUR DE LA MORT !

Ted : Ouais il a pas peur. Tire.

Kaytlin : HAHAHA ! Je vais te désintégrer !

Ted : OUAIS !

Kaytlin : Toi la ramène pas trop. T'es un témoin je vais devoir te désintégrer aussi.

Ted : Oh éh ! J'dirai rien moi. Je l'aime pas non plus l'autr' gros con.

De Burchill : NOUS MOURRONS EN HÉROS !

Ted : ME MÊLE PAS A TES HISTOIRES TOI ! Ok écoute chérie, je te laisse le chèque, si ça sert à buter les deux gogols c'est un bon investissement, mais me bute pas s'teuplait.

Kaytlin :... Hum. Non j'vais te buter aussi. Mais pour te remercier de ton argent je vais te tuer en second comme ça tu pourras apprécier la mort de ton pire ennemie.

Ted : Oh ?... Ben c'est toujours ça de prit. VA Y CRÈVE LE !

De Burchill : Adieu compagnon ! Je sais que tu pleurera ma mort mais... tu doit être fort.

Ted :... Tu fais vraiment pas attention à ce que je dit pas vrai ?

De Burchill : Soit fort.

Ted : ... Ok ! J'en peux plus butte le.

Kaytlin : ADIEU BURCHILL ! HAHA...

"BLAM"


Un pan de mur s'écroule sur Kaytlin l'ensevelissant sous un tas de gravât. Dans le trou dans le mur créer par cette effondrement se trouve une silhouette... familière.

Skip : CHOUETTE ! UN PASSAGE SECRET !

Richie : Skip, le fait que tu défonce les murs ne créer pas des passages secrets bon sang.

Skip : OH C'EST BURCHILL !

Richie : Hein ?

De Burchill : Hola compagnons ! Merci vous venez de me sauver la vie.

Skip : OUAIS !

Richie : Euuuuh... cool ?

Ted : Non pas cool !

Les retrouvailles font plaisir à voir. Skip et De Burchill font une farandole. Richie pour ne pas faire tâche danse aussi en tournant autour des deux idiots.
Ted pendant se tend fouille dans les gravats à la recherche de son précieux.


Ted :... MON CHÈQUE !

De Burchill : Oh bravo Ted. Tu me le donne ?

Ted : Dans tes rêves pov' nèfle ! Cet argent va me servir à élaborer un plan pour me débarrasser de toi... et de tes deux copains nuisibles aussi d'ailleurs.

Richie : Hey !

Ted : LA FERME ! Burchill tu as fait de ma vie un enfer et je vais te le faire payer au centuple crois moi. Et pour commencer... Je vais te tirer dans le genoux... Avec ce bazooka. HAHAHA !

De Burchill : Diable ! Ce bazooka me regarde droit dans les yeux de mon genoux !

Ted : Ainsi blessé je pourrai t'humilier à Backlash avant d'en finir pour de bon avec toi. HAHAHA ! CRÈVE !

"PAF !"

Un gros poing vient se planter en plein dans la face de Dibiase. Ce dernier s'écoule, lâchant son chèque qui virevoltant tombe par le pur des hasard entre les mains de De Burchill.


Richie :... C'est l'karma ou bien.

Big Show : Non moi c'est Show... le Show du grenier.

Andernedy : Et moi Andernedy. Heureux de faire votre connaissance/Je ne vous salut pas tas de con.

Richie : BERK ! Des jobbers !

De Burchill : Merci pour votre aide en tout cas compagnon. J'espère vous rendre la pareille un jours. Sur ceux je vais donner ce chèque à de pauvres gens.

Andernedy : Attendez/Casse toi pov' con !

De Burchill : Qui a il ?

Big Show : Emmenez nous avec vous.

Richie : Et pis quoi encore ? Les jobbers doivent rester dans leurs coins et pas venir nous polluer. Viens Skip on s'en va.

Skip : Gato !

Richie : Oui mon gros !

Big Show : S'il vous plait m'sieur. On est là depuis si longtemps, je suis sur que si on sortait de ces Backstages on trouverait quelqu'un d'assez gentil pour nous manager.

Andernedy : Ce serai si bien/Rien à foutre.

De Burchill :... Hum ! Ce serai contraire aux règles du royaume de WFA. Mais l'ordre des chevaliers de Burchill possède une règle supérieures à celle si : "Je doit venir en aide à ceux qui sont dans le besoins" je vous aiderai donc compagnons. Venez. Traversez le mur.

Big Show : VOUIIII !

https://www.youtube.com/watch?v=BHtn3u_HtBA

Et c'est ainsi que De Burchill retrouva après moult aventures l'argent qui servirait à ses bonnes œuvres. Ted repartie bredouille de cette aventure, quelques dents en moins, mais le cœur remplie d'une rage bouillonnante. Show et Andernedy trouvère une âme charitable pour les manager. Skip et Richie mangèrent un Kebab délicieux ce soir là. Quand à Kaytlin... et bien... c'est une autre histoire. Bisous mes p'tites chattes et ne ratez pas Backlash pour connaitre la suite des formidables aventures de DE BURCHILL LE PREUX !














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MessageSujet: Re: WFA Backlash   WFA Backlash - Page 4 EmptyLun 31 Déc - 1:23

La fin de la (bonne) promo du Sieur De Burchill sera donc la dernière Very Happy.

Merci à tous pour votre participation.

(ps : la prochaine fois ce sera (je crois) en Mars ça sera plus facile pour tout le monde lol )

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MessageSujet: Re: WFA Backlash   WFA Backlash - Page 4 EmptyMer 2 Jan - 6:52

Je tiens à m'excuser de n'avoir posté aucune promo. Je suis frustré moi-même et je garantie donc que ça n'arrivera plus.

En parallèle, je n'ai pas eu l'occasion de lire les promos, mais ça ne tardera pas.
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MessageSujet: Re: WFA Backlash   WFA Backlash - Page 4 EmptyMer 2 Jan - 11:40

T'inquiète Dark il y a pas de problème. On s'y attendait en période de fêtes a pas avoir tout le monde. Concentres toi sur la prochaine session ^^'
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JGabriel68
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MessageSujet: Re: WFA Backlash   WFA Backlash - Page 4 EmptyMer 2 Jan - 23:28

Mais prépare-toi à voir Jeff Hardy paumé Mister Green
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